Rencontre à Douroula-burkina2020085-aprossa

« L’humanité doit choisir entre « solidarité » et « suicide collectif ». Ainsi s’exprimait le secrétaire général de l’ONU Antonio Gutteres, lors de son discours d’ouverture du sommet de la COP27 à Charm el-Cheikh. Il s’est prononcé en faveur d’un « pacte historique entre les économies développées et en développement, un Pacte de solidarité collective ».

Créé en 2014, le programme Coopérer autrement en acteurs de changement se concentre sur les enjeux communs que sont la préservation de l’environnement et la lutte contre les inégalités. Force est de constater que l’appel du secrétaire des Nations-Unies démontre la pertinence d’un tel programme. Dans l’article CAAC : Au Nord comme au Sud, les droits des travailleurs précaires en question, nous démontrons combien il est difficile de trouver des financements pérennes pour travailler sur l’accès aux droits.

En pleine flambée des prix de l’alimentation, le 16e baromètre de la pauvreté et de la précarité porté par le Secours populaire français, membre du CFSI, révèle que 37 % des français peinent à consommer des fruits et légumes frais tous les jours. Les étudiants et plus largement la jeunesse figurent parmi les catégories les plus affectées par la hausse des prix.

Les espaces de débats offerts par le festival ALIMENTERRE permettent de reconsidérer nos liens avec avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine : non seulement en termes d’interdépendances, mais aussi en termes d’échanges d’expériences pour le développement d’une alimentation plus durable et solidaire, à coûts accessibles pour toutes et tous. Ainsi à Lomé, les débats autour de l’utilisation des pesticides ont questionné la réappropriation de son alimentation par l’autoproduction.

Vous l’aurez compris, la période d’incertitude que nous traversons ne doit pas faire oublier les liens qui nous unissent. Dans l’article Episode 2 : Guérin-Kouka, les mamans cantines : «  quand le riz vient à manquer » Ilona Gordien nous relate les difficultés des mamans cantines togolaises à s’approvisionner en riz local et qui finissent par acheter du riz d’importation de piètre qualité. Si elles aboutissent, les actions que mène le CFSI en faveur d’accords de commerce solidaires avec le Sud contribuent à préserver et développer la souveraineté alimentaire des pays.

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