Evénement international sur l’alimentation durable et solidaire, le Festival ALIMENTERRE invite du 15 octobre au 30 novembre, les futurs professionnels, professionnels agricoles ainsi que le grand public à débattre autour d’une sélection de 8 films documentaires.
Chaque année une vingtaine d’associations en France et à l’étranger coordonnent les acteurs qui se mobilisent dans plus de 600 communes pour sensibiliser et informer des milliers de personnes sur les interdépendances des systèmes alimentaires et agricoles.
L’an dernier, c’est plus de 70 000 personnes qui ont participé à des événements de sensibilisation. Cette initiative du CFSI a pour objectif de permettre une co-construction de systèmes agricoles et alimentaires durables et solidaires, en accord avec le droit à l’Alimentation.
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Entre l’Afrique et les Pays de la Loire : des enjeux agricoles et alimentaires partagés ?
L’association de solidarité internationale Guinée 44, membre du CFSI, fait partie des 22 coordinations du festival ALIMENTERRE qui s’inscrivent dans cette démarche de co-construction de nouveaux systèmes agricoles et alimentaires sur leur territoire. En plus d’accompagner les acteurs de sa région dans la préparation de leurs événements de sensibilisation, Guinée 44 s’est alliée cette année à la Région Pays de la Loire pour organiser le 22 octobre prochain à l’Hôtel de Région de Nantes, une journée de lancement remarquable !
Lors de la soirée d’ouverture, Bruno Parmentier, ingénieur et économiste, Isabelle Duquesne, ingénieure en agriculture et responsable du programme Promotion de l’agriculture familiale en Afrique de l’Ouest (Pafao) au CFSI et Alhousseini Diabate, chercheur malien sur la souveraineté alimentaire, questionneront les liens d’interdépendances entre les pays sur les questions alimentaires.
Aurélie Cauwélier, coordinatrice territoriale du festival à Guinée 44 témoigne : « Nous souhaitons encourager la rencontre entre les acteurs du territoire qui n’ont pas l’habitude de travailler ensemble pour réfléchir ensemble aux solutions pour que chacun puisse vivre dignement de l’agriculture sur son territoire ».
